
Au Niger, la désinformation alimente la crise politique !
Lors d’une crise politique, le contrôle des médias à des fins de propagande représente un outil anti-démocratique d’envergure. Le Niger ne déroge pas à cette règle.
Lors d’une crise politique, le contrôle des médias à des fins de propagande représente un outil anti-démocratique d’envergure. Le Niger ne déroge pas à cette règle.
En République Démocratique du Congo (RDC), pays classé 124ème sur 180 pays au classement de la liberté de la presse de Reporters Sans Frontières (RSF), les journalistes subissent les séquelles d’une situation politique et intercommunautaire tendue.
Sous les feux des projecteurs lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), la Côte d’Ivoire a été confrontée à une vague de désinformation allant jusqu’à inciter à la violence intercommunautaire.
En RCA la liberté de la presse est chaque jour davantage menacée. Des journalistes y disparaissent dans des circonstances troublantes, victimes d’accidents ou de « morts subites ». C’est le cas de Jean Sinclair Maka Gbossokotto, décédé il y a deux ans.
La jeunesse nigérienne constitue l’avenir de l’information dans le pays. Elle doit aujourd’hui se prémunir contre la désinformation impactant la population.
Idrissa Ousseini est une figure du journalisme au Niger. Animé par l’envie de faire rayonner le paysage médiatique nigérien, il a fondé la première école privé de journalisme et de communication du pays.